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Par Jundel dans fiction érotique le 17 Octobre 2017 à 20:09
Dégât des eaux
La pluie tombait depuis bientôt trois semaine . Pendant cette fin d’hiver particulièrement pluvieuse Jynna comptait les jours de pluie les uns à la suite des autres car cela la fascinait. Aujourd’hui était le 20ième,peu ordinairement , cette année durant laquelle les crues noyèrent de nombreux départements en France.
C’était pendant qu’elle se masturbait dans le lit de sa chambre d’appartement de la petite ville Sens-Pouèmerie qu’elle appris par la radio que l’alerte inondations fut déclarée par les autorités météorologique et régionales car la petite voie fluviale qui serpentait dans la campagne nordique commençait de déborder. De plus ce confluant qui se nommait La Sambre , sectionnée en écluse sur toute sa longueur , était retenue en amont par un modeste barrage , qui était dans une situation critique. Dans le danger d’une éventuelle fissure dû à la contraction d’un trop gros volume d’eau dans le large bassin artificiel , les contrôleurs prévenait d’un niveau limité atteint puis ouvraient les vannes.
- Risque d’inondation maximum , 70 cm d’eau prévus pendant cinq jour , dit le journaliste .
Elle avait un doigt dans l’anus à ce moment là , quand elle écouta par hasard son radiophone dont le son faible grésillait entre son Pc et le rideau bleu gris de sa fenêtre , de laquelle un ciel sombre et bas abreuvait a profusion les terres plates avesnoise.
Elle le retira et le suça avec ses légers mouvements corporels. Ses hanches actives et énervées gesticulaient dans la couette encore peu froissée. Concernée par cette mini catastrophe météorologique elle songea à ses bottes et son gros anorak chaud et imperméable qui attendait dans la penderie . Cet évènement malheureux qui détruisit le moral de la plupart des habitants n’ affaiblit pas Jynna dans sa vivacité naturelle .Dans son tempérament intempestif et joviale ,elle ne s’attrista aucunement et s’amusait même du futur chaos ambiants. Elle prévoyait bien sûr de draguait les volontaires qui déplaceraient les Sens- Pouémeriens en barque, de leur maison sinistrée, sur les bords de la colline, à proximité, ou bien jusqu’à un refuge collectif de fortune. Elle irait rejoindre son frère qui logeait plus loin, en hauteur et au sec.
Elle imaginait une armada de pompiers, de cantonniers, de flics , se retourna, s’accouda dans la couette et cala sa tête dans son oreillers. Une fois agenouillée, le cul en buse , elle branla sa chatte frénétiquement ,sa chatte toute humide qui criait famine .Elle gesticulait encore et désirait qu’un bel homme lui enfonce une grosse bite pour la ravager. Elle pris son gode et s’en servit pendant un gros quart d’heure, dans le vagin et un peu dans le derrière , en s’épuisant.
Elle jouit . Après quoi elle enfila un survet’, et fit une sieste .
Deux semaines avant Jynna se faisait larguer par une espèce rare de connard qui sans prévenir , l’ abandonna après onze mois de relation pour faire sa vie avec une fille plus jeune , plus riche qu’elle. Elle avait aussi une plus grosse poitrine et un voiture moderne. Très amoureuse de lui Jynna ne soupçonnait pas ces derniers trois mois d’ infidélité . Axel s’était montré imprévisible. Howk le surnommais-t- on depuis sa jeunesse.
Jynna , dans ses 28 ans avait une nouvelle fois perdue dans ce dur et long chemin de la vie tout au long du quel elle avait plus torché ses ex que pensait réellement à elle. Son travail de consultante historienne lui convenait qu’à moitié car le quartier ou elle exerçait la livrait à un quotidien maussade , elle était lassée du sujet dont elle s’occupait et l’environnement humain devenait déplorable. Ceci dit son CDD touchait à sa fin et projeta de bosser un autre thème , ailleurs , comme celui l’après-guerre dans le bassin minier franco-belge.
La vérité était qu’elle excellait dans ses domaines d’étude , mais trop immature et trop franche elle ne se stabilisait pas et ne souhaitais d’ailleurs pas se posait avant d’avoir pris ses responsabilités en main . Très sensible , elle était plus qu’appréciée dans la vie et cachait la plupart du temps un penchant maladif pour le sexe.
Elle se masturbait parfois tous les jours , avait baisé avec son stagiaire ,avant de sortir avec Axel . Le sous- directeur du bureau l’avait sautée un soir , quelques semaines après son embauche et l’homme de ménage y était passé aussi , un beau jour. Axel avait calmé son ardeur de gentille salope.
Elle envisageait de téléphoner à Virginie sa collègue ou bien Redman , c’est-à- dire Corinthien son nouveau petit stagiaire ,pour les prévenir de son éventuelle absence en cas de sinistre .c’est ce qu’elle fit .Elle eu Virginie qui la rencarda pour un futur apéro.
Le jour se coucha sous des trombes interminables . Le vent froid pétrifia Jynna qui ferma ses volets sur la ville grise , noire et orange. A par l’eau qui se versait dans les rues et les champs avoisinant , seules des automobiles lentes et traumatisées animait un tableau malheureux , morne , d’une petite populace écrasée sous l’ infâme intempérie qui allait sous peu faire dégueuler l’artère liquide qui juxtaposait au centre ville . Les rives déjà battues , conduisaient l’eau sur les autres bords vastes et la plaine vide. Cette calamité sans tonnerre, sans cri terrible de terreur mouillait toutes les maisons et toutes les fesses , sur des dizaines de kilomètres ,courante comme une vague frêle sur les pâtures , ces sauvages et tyranniques bois sans soif.
Un vieux avec une canne, dans ses bottes noires parlait à des jeunes , non loin de là .
A sept heure du soir , le marchand de frites dégageait sa baraque avec un vieux Scenic, honteux de ne pas l’avoir déjà fait.
Un type , se dépêchait plus loin , et la pizzéria n’attendait pas beaucoup de monde ce Mardi soir.
Jynna dina, des pommes de terre et une salade aux lardons, mis une chaine cinéma et fureta sur Meetic les mecs qui avaient une belle gueule. Elle avala un yaourt à la fraise et quitta le site de rencontre , pas motivée, puis des bateaux plein la tête pensa à ses vacances à son frère Sét , qui attendait son deuxième gosse. Elle l’appela et lui parla de l’ alerte . Il prépara un matelas dans la chambre de la petite Marie.
Elle pris une douche et se promena nue dans son appartement, entre rangement et télé. Ses cheveux châtains clairs qu’elle laissait sécher recouvrait le haut de ses bras , de son dos . Ses seins moyens en forme de poire , pendaient un peu. Le sein gauche était tatoué d’une fée rose et verte ailée , dans une arabesque bien noire, sous l’aisselle . Ses yeux bleus pétillaient .
Elle songeait aux locataires de l’immeuble , qu’allait il entreprendre dans la journée de demain ? Une peur s’immisça et l’excita presque, insoucieuse. Elle fantasma sur le gars du premier étage qui était ouvrier ,en couple et dans l’instance de vivre en ménage avec sa petite amie qu’il connaissait depuis plus d’un an. Lui se nommait Eric, elle , aucune idée. Puis Madeline, en face, avec son seul fils , divorcée d’un banquier alcoolique et au -dessus , une jeune étudiante de 22 ans, Tania ,d’un coté , et Jean-pierre le technicien proche de la retraite que le sort avait séparé de sa femme dans un tremblement de terre durant leur vacances d’été au Bangladesh il y a quatre ans , de l’ autre .
Apriori personne ne paniquait .Elle ne perçu aucun signe d’affolement et ,au contraire même , on eut dit que l’ ambiance chaleureuse se prêtait à la camaraderie festive .
Après tout ,se disait -elle, si tout va bien , joie dans nos cœur ! Mais elle se retint de jubiler ,et avait envie de glisser son gode dans l’anus. Elle ferma le vestibule ou elle avait mis son manteau sur une chaise et ses bottes . Elle eut envie de se faire enculer dans ses bottes mais les laissa pour plus tard. Elle s’en alla s’ assoir sur son lit et caressa les poils de son pubis .Elle mouilla son index et l’enfonça un première fois dans son minou , puis une seconde fois , plus profond . Sa respiration qui se réchauffait dans ses gestes érotiques échappa un râle de pur plaisir et pris un petit gode , une verge de taille réduite pour se branler doucement et dans de moindre violence. Elle commença par le sucer, langoureusement , amoureuse de l’objet plastique et , allongée de côté, le bras entre les jambes, elle le pénétra entier , le gobant à chaque mouvement de poignet . Elle jouit sans effort.
Elle s’enfonça dans son lit , sous la couette , mince et câline puis elle dormit .Sa télévision resta allumée toute la nuit.
Elle se réveilla à 6 h angoissée. Après une toilette rapide , elle enfila un jean moulant et un gros pull violet clair qui lui allait à ravir puis attacha ses cheveux .Elle ouvra le volet droit et constata un déluge . Toute la ville et les alentours étaient inondées sous une nappe dégoutante d’eau grise d’ un demi mètre ou plus .
Jynna fut sur le qui vive. Une heure plus tard le voisinage s’activait dans les couloirs. Eric proposa un chocolat chaud qu’elle refusa , Jean pierre prévenait l’arrivé d’ une barque dans les deux heures pour évacuer le quartier , par groupe de huit personnes. Madeline poussait la petite blague bienvenue, quand à Tania , elle allait bien mais se plaignait de rater ses cours. Dans la foulée Sét appelait pour lui dire que sa femme l’attendait.
8h. Elle téléphona au boulot Redman répondit au bout du deuxième appel. En fait, Virginie était en train de le sucer dans les toilettes . Les autres collègues étaient absents à cause du sinistre. Mais elle ne le savait pas de la bouche du jeune homme ,c’ est Virginie qui lui envoya un texto coquin par la suite.
Qu’elle manqua un ou deux jours de boulots ne fut pas un problème. Même la semaine manquée serait sans gravité.
A 9h 30,une barque avec deux sauveteurs arriva et emmena un premier groupe . Un zodiac de police surveilla surtout le centre ville, animant ainsi bon gré mal gré l’activité de ce mercredi. On vit même les gendarmes en zodiaque pareillement ,et un hélicoptère de journaliste qui interviewa des adjoints sur un autre immeuble vers la mairie. Vingt cinq minutes après le premier aller-retour , la barque revint et emmena un second groupe . Eric était du premier, Jean pierre , Madeline , son fils et Tania du troisième . Avec tous les locataires et les vieilles personnes prioritaires de la rue , Jyanna compta 9 voyages. Elle fut la dernière à être récupérée . Elle eu le temps d’aller de soulager , vers les onze heures dans sa salle de bain car le sauveteur qui tenait le moteur à hélice avait draguait une quadragénaire en manque de baise et cela l’avait tuer de rire et exciter, puis, plus tard, un gendarme avait réceptionné une mère ronde , aux seins énormes qui faillirent l’étouffer lorsqu’elle faillit chuter dans l’eau . Puis encore, un autre voisin l’avait compressé entre d’autres personne dans l’attroupement suivant .Elle s’était mise à mouiller en sentant les mains d’un pauvre homme , inconnu, qui habitait semblait- t-il dans l’aile droite du bâtiment , au quatrième étage. Il était au chômage avoua-t -il en s’excusant .Il était tout de même séduisant .Elle avait trempé sa culotte.
Entre midi et treize heure ,la barque vint la récupérer , avec elle , une vieille dame du rez-de -chaussée ,un couple ordinaire et leur fille unique .
Dans la singularité du moment elle faillit se toucher le clito devant les autres protagonistes mais se stoppa de justesse . Un fois sur un rivage ferme , elle remercia les deux hommes, un pompiers et un cantonnier ; en discutant avec eux quelques instants :
- -Merci , bon courage ,leur lança- t- elle
- -De même, dit le cantonnier .
- -Combien de temps ça va durer ? questionna t elle .
- -Peut être cinq jours ou plus . La pluie ne cessera pas de tomber .
- -OK j’en prends bonne note , merci encore dit- elle
Puis elle s’en alla chez son frère qui habitait le bourg d’à coté , derrière les futaies de la colline. Elle fit du stop. Elle remercia le ciel de ne pas avoir de voiture et de n’avoir qu’ un vélo pour se déplacer . Elle n’a rien perdue.
Pourtant elle fallut retourner dans son appart le jour suivant pour retrouver un CV dans son bureau, avec lequel elle postulerait pour une place au centre de documentation de Ouir-La-Vallée, centre de renom. Elle avait chopé l’annonce sur Pole-emploi.
Elle retrouva le cantonnier avec qui elle avait fait causette , il se dénommait Hedel , prénom peu courant mais charmant .Il avait de la classe dans son franc parler jugea -t- elle . Et son regard intriguait la jeune femme . Il était seul cette fois car tout le monde était évacué, le pompier n’ était pas nécessaire pour des rondes de surveillance .
Une fois en barque , elle papota et se mis à mouiller. Elle contemplait ce gars seul et bien en chaire la dévisager et mener à bien sa mission. Elle lui appris le pourquoi de sa venue et su de Hedel qu’une personne de son entourage travaillait au centre ,ce qui la stupéfia particulièrement . En effet c’était sa tante qui était directrice du personnel de l’établissement qui recrutait un personne compétente. Jynna dit donc à Hedel qu’elle postulait , que son contrat à Sens-Pouémerie ne débouchait pas et qu’elle cherchait à exercer ailleurs . A bon port, elle sortit du canot et enjamba des planches qui gênaient le passage jusqu’à la passerelle de fortune construite jusqu’à l’ escalier. Elle trébucha et mis le pied à l’eau et se releva.
- -Pas de mal ma petite dame, interrogea Hedel.
- -Ca va, répondit -elle.
Elle monta , accéda à son appart .L’ endroit sec et protégé la rassura. Elle pris ce dont elle avait besoin et par la fenêtre regarda la ville morte. Pas un chat . Le zodiac de police n’ était pas en fonction dans les environs, l’eau plane vibrait sous la pluie qui clapotait . Le cantonnier en bas patientait, tranquillement. Elle l’invita en criant par la fenêtre
- -Montez boire un café !
- -Vous êtes sur ,dit -il mal aisé
- - Oui montez , on n' est pas pressé !
- -D’accord j’arrive .
Hedel accrocha la barque à l’ aide d’une corde , éteignit le moteur et escalada les tréteaux .
Après avoir monté l’ escalier , il se mis devant l’entrée de l’appartement , la porte était entièrement ouverte et déclipsa les pressions de son imperméable . Il hota ses bottes et de son pantalon sec brillait des bandes fluorescentes , typiquement aux vêtements ouvriers communaux. Il garda son bonnet bleu mate et zippa la fermeture de son pull au col roulé. Il enleva ensuite l’imper et l’ accrocha à une rampe , dans le couloir de manière à le laisser sécher. Puis il rentra chez Jynna . Toute tiède, elle venait de se parfumer et , délicate comme un chatte, elle plaisanta avec son invité.
Ils burent le café courtoisement . mais, Jynna agitée comme d’habitude, perdis ses moyens .
Hedel dit :
-Vous aurez certainement la place , vous semblait super calée, ça se voit rien qu’à vos yeux ;
Jynna sourit affectueuse et proposa une seconde tasse . Hedel refusa mais pris son téléphone et composa le numéro de Anne-Marie sa tante .
-Allo? répondit-elle
-Oui ! Hallo ! Bonjour Anne-marie c’ est Hedel
-Bonjour, tu vas bien ?
-Oui, bien merci , je te téléphone pour te parler du poste que tu proposes au centre de documentation
-Oui ? questionna t elle
-J’ ai une charmante personne en face de moi qui termine un petit contrat de trois ans au conservatoire historique de Sens. Et elle recherche spécialement dans ce domaine , pour l’étude de l’ après-guerre franco belge.
-D accord.. .OK.. je vois.. . Comment est elles disponible ?
-Toute la semaine, dit il.
Jynna rougit peu , elle était un peu dépassé par la situation .
-Demande lui de se présentait à mon bureau Vendredi matin , avant onze heure, je n’ ai pas beaucoup de candidat étant donné ce déluge… finit- elle par dire.
-Ok ,elle est en face de moi, je le lui dit.
-Merci, à bientôt Anne-marie !
-Merci , à bientôt.
Il raccrocha , s‘ apprêta de s’en aller avec Jynna quand elle le remercia sans savoir quoi dire ,elle ramassa ensuite, les tasses et devant l’évier fit tomber une cuillère .
Hedel qui choirait , les idée perdues dans la fenêtre entrouverte , pivota la tête et vit le sublime cul de Jynna , en buse , qui tendait le jean jusqu’à le faire crissé. Il voyait la forme de la moule , amphlée et odorante . Elle se redressa, croisa ses jambes pour taire son vagin affamé ,sans succès.
Elle fit une rapide vaisselle puis s’approcha d’Hedel
-Merci ,dit-elle, l’air prostré, comment vous remercier ?
De rien , c’est naturel , je fais suivre un bon filon pour vous ,c’est une coïncidence , ma tante vous et … il balbutia.
C’ est génial , merci … mais vous tremblez ?
Il ne tremblez pas mais Jynna en chasse , rusait .
-Vous n avez rien oubliez ? on va y aller… dit Hedel dans ses réserves.
Elle porta sa main sur le visage du cantonnier qui ne savait se défaire d’un air de chien battu . Elle le caressa avec le pouce , puis avec l’autre main, tira son visage jusqu’à elle .Sa bouche embrassa les lèvres d’Hedel qui la laissa faire .
Elle se serra entre ses épaules et eu un mouvement sexuel très suggestif .
Elle trouvai que l’instant avait du charme et ne résista pas à l’envie de faire l’amour bien qu’ elle cru que Hedel aurait interprété cette pulsion sexuelle comme une réponse à un récent chantage . Elle l’ aurait allongé même sans cette histoire de boulot. Elle le leva et lui offrit le lit . Elle l’ enfourcha et hota son gros pull. Son corps exaltait , un nombril mignon , deux seins alléchant et une tête concentrée dans son repas , vorace d’hommes et assoiffée de jouissance. Lui hota le sien , et son débardeur , puis le nez entre ces beaux nichons, dégrafa le sous tif . Elle dénoeuta ses cheveux qui vinrent caresser les bras musclés de Hedel qui mania la jeune femme avec expérience . Elle se leva , tout deux enlevèrent leur pantalon et leur sous vêtements puis elle s’allongea sur lui enveloppa le corps éprouvé du cantonnier d’une douceur incomparable .Il la caressa sans arrêt , en retour et Jynna avant qu’elle ne fut terrassée par son homme , suça sa bite bien dure. Apres l’avoir engouffrée au fond de la gorge elle la relâcha et s’ allongea encore sur Hedel qui l’enroula dans une étreinte merveilleuse . Plus rien ne coutait d’autre que de jouir ensemble. Elle voulut se laisser faire mais sentait que Hedel souhaiter sa place de dominé mais les rôles se perdirent et Hedel la pris en missionnaire . Il mordillais ses tétons, sa bouche , claqua son bas-ventre contre le vulve chaud et lâche . Sa carrure physique vaincu la femelle qui ne se départit pas de son initiative et , avec ses malices sensuelles retourna le corps de bête et chevaucha l amant avidement. Elle se retourna et pencha son dos vers lui puis continua d’assouvir sa chatte trempée
Elle cria : hah, hah, hah ,
Le membre de Hedel lu fit un bien fou. Elle tira la verge jusqu’à éclater de plaisir dans ses râles de jouissance, puis elle céda sous la sensation puissante de l’orgasme qui montait , acéré et prégnant .
« Prends moi par derrière » lui dit- elle . Il la pris donc en levrette , ses fesses claquèrent promptement . Il doigta l’anus de Jynna qui acquiesça et pie ,elle lui écarta son trou pour qu’il rentre dedans . Il légua sa verge à l’arrière-train qui voulait le faire glisser en elle . Elle qui aimait , parvint aux anges et atteint l’orgasme quand il rentra de nouveau dans sa foufe juteuse ; Il répandit son sperme dans Jynna qui fut conquise . De concert , il s embrassèrent et s'enlacèrent .
Après cela, Hedel raccompagna Jynna sur la colline , qu’elle parcourra pour passer la nuit chez Sét .
Ils se revirent le lendemain. Le vendredi, Jynna se rendit au rendez-vous et obtint le poste facilement . Elle fut une bonne historienne et réussi ses projets professionnels. Elle se maria avec Hedel , fit quatre enfants , eu une vie épanouissante sexuellement et psychologiquement et, grâce à elle , permis le même destin à Hedel qui découvrit alors dans un bonheur inestimé les joies d’ une vie heureuse .
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